Le blog MonVersailles a été le « terrrain » d’une polémique à propos du passage piétonnier de l’avenue de Paris, qui doit relier l’avenue de Paris à la butte Montbauron. Devant certains propos qui y ont été tenus, je voudrais ici rétablir la vérité.
Historiquement, l’idée de mieux desservir le plateau sportif Montbauron avait été émise dans les années 80 par Claude Boulier alors maire-adjoint de Versailles au comité du syndicat international pour la gestion du service des eaux de Versailles et Saint-Cloud (SEVESC). A cette époque, il aurait même émis avec un certain humour de construire un funiculaire à eau comme il en existe en Suisse !
Ce projet ne voit pas le jour à cette époque mais il n’est pas complètement oublié.
En effet, lors de la reconstruction de la piscine Montbauron, les difficultés d’accès ont été soulevées et la possibilité de créer un accès piétonnier est à nouveau évoquée.
Lors de sa séance du 20 juin 2005, le SEVESC, dont j’ai été vice-président puis président de 2001 à 2008 par délibération, en a accepté le principe .
Il faut donc retenir que :
- La parcelle n’appartient pas à la SEVESC mais au syndicat des eaux ;
- Le syndicat a autorisé le cheminement dès 2005 ;
- Les crédits ont été inscrits dès le début des travaux de la piscine ;
- Le retard à l’ouverture du passage a été dû principalement à une forte volonté de concertation avec les riverains.
Voici donc et sans réserve l’intégralité du processus qui a permis aujourd’hui d’ouvrir ce passage piétonnier et je m’en réjouis.
Vous trouverez en pièces jointes l’ensemble des documents datés concernant ce passage piétonnier (séance du comité du 30 juin 2003 et séance du comité du 20 juin 2005). J’espère avoir éclairé «Droit de réserve » qui a laissé un commentaire sur « Mon Versailles » car tout ceci n’est que la réalité.
Du 17 mars 2004 au 31 mars 2009 l’on a cessé de porter atteinte à mon honneur et à ma considération. Par arrêt du 31 mars 2009 la chambre criminelle de la cour de cassation a définitivement rejeté le pourvoi en cassation de mon contradicteur le rendant ainsi coupable de diffamation envers un particulier.
Roselyne Bachelot, ministre de la Santé et des Sports, a annoncé le lancement de la campagne de vaccination contre la grippe A/H1N1 dans les établissements de santé, lors d’une conférence de presse, mardi 20 octobre 2009 au ministère de la Santé et des Sports.
C’est la première fois que le château consacre une exposition à son créateur et Jean-Jacques Aillagon doit être félicité d’avoir réparé cette injustice. L’exposition « Louis XIV, l’homme et le roi », qui a ouvert ses portes lundi dernier, présente un roi à la fois obsédé par son image et un homme d’un goût certain, large et complet. Le roi souverain, le roi de guerre, le roi mécène, le roi collectionneur, le roi de gloire, les oeuvres présentées couvre toutes les facettes d’un homme qui voulait à tout prix être au-dessus des autres, parce qu’il voulait que le royaume de France soit au-dessus des autres : le roi, l’Etat, la France ne formaient-ils pas qu’un tout ?
Lorsque j’étais vice-président du Conseil général en charge de l’insertion et de la solidarité, j’ai mesuré l’ampleur de la tâche et, aujourd’hui, c’est toujours un sujet que je suis avec attention. Mercredi 14 octobre, lors d’un déjeuner à l’Ermitage, j’ai visité cette maison d’une capacité d’accueil de 10 chambres gérée par Fondacio, un mouvement international qui rassemble des chrétiens dans un esprit œcuménique, environ 3 000 membres dans vingt pays. C’est un outil de solidarité humaine extrêmement précieux à mes yeux et encore plus en ce moment de crise où le défi du logement est encore plus grand.
Si comme moi, vous souhaitez rencontrer l’auteur talentueux d’un nouveau roman original, mêlant drame psychologique et peinture drôle et réaliste du milieu politico médiatique…
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